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La Population

Population : 400 000 h: noirs , blancs, indiens, métis.
L'Histoire souvent douloureuse, ici comme partout, a fait que la population actuelle de la Guadeloupe, n'est pas la population d'origine.
L'histoire de la Guadeloupe est un chapitre, pas toujours glorieux de l'Histoire de France. Les habitants actuels sont des descendants métissés à différents degrés des esclaves d'origine africaine, des blancs descendants des premiers propriétaires européens, et de leurs employés, et des travailleurs indiens.
Il y a aussi des populations italiennes, libanaises et syriennes diversement mêlées à la population locale.
filles Ce qui caractérise la population actuelle, à la Guadeloupe comme à la Martinique, c'est ce brassage sans doute unique au monde de plusieurs cultures qui font la personnalité antillaise française tout à fait originale avec ses caractères propres, ses traditions, ses légendes.
La langue créole de la Guadeloupe qui est à côté du français un patrimoine commun, est conservée, étudiée, cultivée et possède ses auteurs et sa littérature.
Sa source est le français, parfois archaïque. En peu de temps un francophone apprend à comprendre cette langue ; elle n'est jamais indispensable à la communication. Il y a de nombreux français de France qui s'installent à la Guadeloupe ou qui viennent pour leur travail.
On doit ajouter aussi les immigrants récents, haïtiens et dominicains qui ont fui la misère de leurs pays proches.
routedesmamelles Ici, la Route de la Traversée qui conduit de Pointe à Pitre à la Côte-sous-le-vent, au nord de l'île Basse-Terre, longe ces paysages si particuliers à la réserve tropicale naturelle des Deux Mamelles.
L'accès à ces espaces protégés n'est pas sans danger (on peut faire de mauvaises chutes, on peut s'égarer, on peut être victime du froid humide alors qu'on a beaucoup transpiré).
Il est recommandé de s'informer dans les syndicats d'initiatives avant de s'y aventurer. On a par endroit l'image de la forêt primaire telle qu'elle a toujours été.
Les cyclones fréquents provoquent comme partout, parfois de grands changements en détruisant des habitations et des arbres et en provoquant des crues. Mais la nature sauvage se répare elle-même de ses plaies.
Il y a plus à craindre pour la nature, de l'action irréfléchie des hommes.